
Claire, 27 ans
Responsable Communication
“On travaille dans la bonne humeur, ce qui est un vrai moteur pour moi”
Je suis arrivée au CDG88 comme stagiaire et depuis, l’aventure continue ! Aujourd’hui, je suis responsable du service communication, avec mon équipe on gère la création de contenus du CDG88.
Le CDG88 est un super terrain de jeu pour la communication, il y a toujours de nouveaux projets à créer. Que ce soit pour la structure elle-même ou pour la fonction publique territoriale en général, on peut vraiment s’impliquer dans plein de choses.
Et ce qui est top, c’est qu’on a vraiment la liberté d’être créatif, d’apporter notre vision. On nous fait confiance pour proposer et concrétiser nos idées, tant que ça s’aligne avec les besoins des équipes.

Rémi, 28 ans
“Je ne me suis jamais senti aussi utile dans mon travail que depuis que je suis au Centre de Gestion.”
Depuis que je travaille au CDG, j’ai vraiment le sentiment de servir à quelque chose. Chaque jour, j’apporte mon soutien et mes conseils aux agents du territoire vosgien.
Quand je vois qu’un poste est aménagé, qu’un agent repart soulagé, plus à l’aise dans son travail…je suis content. C’est concret, utile, et ça donne du sens à ce que je fais.
Le cadre de travail est top. J’ai des horaires flexibles que je peux adapter selon mes missions ergonomiques, j’ai toujours une place pour me garer, et surtout, on rigole beaucoup.
C’était important pour moi de travailler dans un endroit où il y a du sérieux, mais aussi une bonne dose de bonne humeur. Et ici, j’ai trouvé ce mix-là. Il faut juste avoir un peu d’auto-dérision… mais ça, ça me va très bien.

Océane, 32 ans
Responsable du service Protection Sociale Complémentaire et Action Sociale
“Grâce aux horaires variables, je peux faire entre 6 et 10 heures de sport par semaine !”
Le CDG88 me permet de garder un bon équilibre entre ma vie pro et ma vie perso. Je travaille 35 heures par semaine, réparties sur 4 jours, ce qui me laisse un week-end de 3 jours toutes les semaines. C’est un vrai confort au quotidien.
Je profite aussi des horaires variables, qui me laissent une vraie liberté d’organisation et pour moi qui suis très active, c’est essentiel.
Les Vosges, c’est un coin très nature, parfait pour faire du sport ou juste prendre l’air. Le bâtiment du CDG88 est super agréable : spacieux, bien pensé… On s’y sent bien.
Depuis mon arrivée, j’ai eu la chance d’évoluer. J’ai été recrutée comme chargée de développement des prestations salariales et gestionnaire assurance, et aujourd’hui je suis responsable de service. J’ai pu prendre des responsabilités, on m’a fait confiance, et ça m’a permis de grandir dans mon poste.

amandine, 40 ans
Je suis arrivée en mission temporaire à l’accueil et aujourd’hui, je suis responsable d’équipe. J’ai énormément gagné en compétences, que ce soit en management ou sur le plan technique.
J’ai eu la chance de mener des projets qui m’ont fait évoluer, de proposer des idées et de mettre en œuvre des compétences que j’avais déjà.
Grâce au télétravail, je peux me concentrer au calme quand je travaille sur des dossiers importants, notamment pour des projets de rédaction. Et la souplesse des horaires me permet d’adapter mon emploi du temps à celui de mon compagnon, ce qui est précieux.
Au CDG, ils nous facilitent aussi les choses côté vie perso/pro. Par exemple, à l’arrivée de mon enfant, j’ai senti qu’on m’accompagnait pour m’adapter au mieux.
Un souvenir qui m’a marquée : ma toute première mission dans une communauté de communes. J’étais chargée de l’accueil à l’époque, c’était donc une vraie marque de confiance que l’on me confie cette mission !

Directeur Général des services
C’est un prof qui m’a fait découvrir la fonction publique. Premier mois de cours, il nous dit : “Pour les élus vosgiens, une belle carrière vous attend dans la FPT.” Ça m’a marqué. J’ai commencé au CDG70, puis je suis arrivé au CDG88… et j’ai été nommé directeur après seulement deux semaines. Tout s’est enchaîné très vite.
Si je devais répondre à quelqu’un qui pense encore que le service public est poussiéreux, je lui dirais juste : viens voir le CDG88. On casse complètement les codes. Les gens qui passent ici sont souvent étonnés par la modernité des lieux, des projets, de notre façon de travailler.
Je suis particulièrement fier d’avoir contribué à la création du service communication. C’était un vrai besoin, un enjeu important pour nous. Le fait d’avoir structuré ce service, c’est pour moi un signe de maturité du CDG. Et c’est une belle avancée collective.

Aurélie, 40 ans
Chargée d’accueil et d’événementiel
Ce que j’apprécie, c’est l’organisation de gros événements. C’est un vrai défi à chaque fois, mais j’aime bien ce côté challenge. Et puis, être titularisée, devenir fonctionnaire, c’est aussi une étape importante pour moi.
Au quotidien, ce que je trouve agréable, c’est le contact avec les usagers : il y a un bon relationnel, ça compte. Et il y a aussi une bonne ambiance entre collègues, ce qui rend les journées plus simples.
Sur l’organisation des séminaires globaux, j’ai pu apporter des idées, suggérer des nouvelles choses. On me laisse une place, et c’est motivant de pouvoir faire évoluer le quotidien.

Quand je suis arrivée, j’ai été bien accueillie par mes collègues, aussi bien dans mon service que dans l’ensemble du pôle « contrats cadres » avec qui je partage le bureau. C’était nouveau pour moi de travailler en open space — avant, j’avais toujours eu un bureau individuel — mais franchement, ça se passe très bien. L’ambiance est bonne, et j’ai rapidement trouvé ma place.
L’intégration, ici, c’est vraiment un point fort. Dès le recrutement, j’ai été accompagnée, et ça a continué pendant plusieurs semaines après mon arrivée. Ça se fait par étapes : d’abord avec l’équipe, puis aussi avec la direction, la chargée du protocole et le service sécurité. C’est bien structuré, on ne se sent jamais lâché dans la nature.
Ce qui m’a agréablement surprise, c’est la moyenne d’âge : elle est très jeune. J’ai presque l’impression d’être une vieille (rires). Mais c’est ce qui donne une vraie énergie au quotidien. L’ambiance est dynamique, et c’est agréable de travailler dans cet environnement.

Mon travail est très complet. Je passe pas mal de temps au bureau, à bosser sur des campagnes de com’, à rédiger des articles, gérer les relations presse, préparer la newsletter ou créer des supports comme des flyers. Mais je suis aussi sur le terrain : je fais des photos, des vidéos, je mène des interviews, j’aide à organiser des événements. Les journées ne se ressemblent pas, et c’est ce qui me plaît.
Dans mon service, l’ambiance est vraiment bonne. Il y a une réelle liberté de parole, chacun peut proposer, tester, tenter des choses. Ça crée une dynamique positive, surtout en communication – c’est important de pouvoir oser.
Et ce que je trouve innovant ici, c’est que tout est très interconnecté. On travaille forcément avec d’autres services, et ça permet de découvrir plein de choses : les domaines d’expertise des collègues, le fonctionnement concret des collectivités… On apprend en continu, sans rester dans sa bulle.

J’ai commencé avec une expertise en santé au travail, et j’ai évolué en tant que DGA.
Je viens du secteur privé, et j’ai pu valoriser ce bagage pour apporter une vision différente, plus transversale, dans la fonction publique. Mon parcours reflète une progression continue, entre technique, management et stratégie, avec une vraie envie de faire évoluer les pratiques RH de manière concrète.
Aujourd’hui, j’intègre la qualité de vie au travail dans la stratégie managériale. On pilote des actions très concrètes, en croisant les approches préventives et managériales. L’objectif, c’est que le bien-être au travail ne soit pas un “plus”, mais un vrai levier de performance, d’engagement, et d’attractivité pour les territoires.

Travailler pour une collectivité, c’est avoir vraiment l’impression d’être utile. Les valeurs comme la solidarité, l’intérêt général… ici, ce ne sont pas juste des mots, ça se vit au quotidien. On sent qu’on fait partie d’un collectif qui a du sens.
Et franchement, l’ambiance y est pour beaucoup. C’est un peu comme une grande coloc — avec des réunions et du café à volonté. C’est pro, mais détendu. On bosse sérieusement, mais dans la bonne humeur. Et y a toujours quelqu’un pour filer un coup de main… ou sortir du chocolat.

Émilie, 41 ans
Je suis formatrice depuis 2023. J’ai lancé la formation “boîte à outils des Secrétaires Générales de Mairie” avec des collègues. C’est hyper concret, et ça me sort de mon quotidien. J’aime bien, parce que ça me permet de voir les gens “en vrai” avec qui on échange tout le temps à distance.
Je bosse dans l’équipe du pôle carrières et instances paritaires. On bosse beaucoup ensemble, surtout pour organiser les instances de dialogue social. C’est là qu’on peut faire avancer des choses avec les élus et les représentants du personnel. C’est intéressant, y’a du fond, ça discute.
Et franchement, le cadre est top, on est en pleine nature, ça change tout. On circule mieux entre services, y a de l’espace, ça donne envie de bosser ensemble. Et puis côté outils, on est bien équipés, y a eu un effort sur les logiciels, ça simplifie la vie avec les collectivités.

Nathalie, 34 ans